27 juil. 2008

Mon 1er gode-ceinture

Bon je vais arrêter, provisoirement faut pas rêver, de vous gonfler avec mes poèmes délicats et doucereux de fille pseudo-inspirée pour parler enfin d'une chose fondamentale : le sexe.
Après vous avoir parlé de mon 1er gode, il me fallait aborder mon 1er gode-ceinture.


Il y a longtemps que je voulais introduire (vous me passerez l'expression) le gode-ceinture dans mes relations charnelles avec les filles. Sauf que ce n'est pas chose si aisée que de convaincre une fille récalcitrante à l'usage du strap-on, et des filles récalcitrantes, y'en a eu pas mal dans ma vie. Je crois que je suis sortie avec beaucoup de filles qui ne juraient que par l'usage des doigts, considérant le gode (tout court, même pas ceinture) comme un ennemi, symbole phallique diabolique. A bien y réfléchir, je suis sortie avec pas mal de filles coincées du cul.

Je sais que certaines ne souhaitaient pas être pénétrées et même si j'ai tendance à penser "elles ne savent pas ce qu'elles loupent", je respecte ce choix légitime et intime. Par contre, qu'elles aient pu me refuser, à moi, le plaisir d'être pénétrée avec un gode ou un strap-on, je trouve pas ça très juste. Peut être que l'idée même de porter un gode-ceinture peut déstabiliser certaines pour tout un tas de raison et notamment l'idée de puissance et de virilité qui y est associé et l'idée qui consisterait à pasticher la relation hétérosexuelle.

Toujours est-il qu'un jour, ma copine de l'époque, après lui en avoir parlé à maintes reprises, m'a dit "banco, let's go to the sex-shop". Nous sommes donc allées dans un magasin où le choix s'est avéré plutôt minable et sommes ressorties avec une culotte double-gode. C'était une culotte en latex hideuse avec un gode externe et un gode interne pour celle qui la porte. Bien que l'objet nous ai semblé pérrave, nous n'en étions pas moins excitées à l'idée de l'essayer, restait à savoir qui allait la porter en premier. Je vous passe les détails de comment on a choisi qui allait porter la culotte en premier? non? ok... Et bien il se trouve que la taille du gode externe était plutôt imposante et comme il se trouve aussi qu'il parait que j'ai pas froid aux... yeux... et qu'elle le sentait pas de son côté, je me suis dévouée. Il faut rajouter que, faisant à l'époque un petit 34, la culotte me tombait littéralement sur les chevilles, la taille unique n'a pas que des avantages!! Ce premier essai a été un véritable fiasco. Elle n'a pas apprécié le gode interne et le système gode-culotte s'est avéré des plus aléatoire question stabilité. La séance a dû durer 5 mn top chrono et la maudite culotte a valdingué au fond d'un carton d'où elle n'est jamais ressortie.


Depuis j'ai découpé les godes pour en faire des godes manuels, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme!

Note globale pour la culotte latex double-godes : 0,2/10

La suite au 2ème épisode.



Butchy fem

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